L’endroit oscille entre un magasin et un musée tellement l’offre d’articles en vente tient du passé. Ce n’est pas tous les jours qu’on peut acheter de ces objets d’autrefois qui sont en quelque sorte en exposition à travers quelque 8,000 artéfacts … qui ne sont cependant pas à vendre.

Un c’est bien, deux c’est mieux… Visiter deux hôtes Terego côte à côte dans la même ville saura peut-être motiver ceux qui seraient hésitants à se commettre pour un seul, de peur de ne pas avoir assez à découvrir.

Le village de St-Élizabeth-de-Warwick est un écrin boisé qui ponctue un interminable rang rectiligne traversant une belle contrée agricole des Bois-Francs. C'est le 4ème rang, berceau de naissance de la famille Laroche de mon paternel. La renommée de l'endroit ne tient cependant pas à mes origines familiales, mais plutôt à sa fromagerie dont les produits goûtent le "ti-Jésus".

Il n'y a pas qu'à l'automne des vendanges qu'il soit prétexte à visiter un vignoble, mais l'éveil des vignes au printemps est tout aussi attrayant. Imaginez garer son VR contre les rangs de 22,000 plants de vignes, observer le va et vient des hirondelles de grange ainsi que les tourterelles qui roucoulent leur tristesse ou encore l'Épervier Cooper qui ratisse le ciel tel un F18 de l'aviation canadienne, voilà autant de moments intarissables de petits bonheurs.

Les stations ont enregistré un total de 6,231 millions de jours-ski, une hausse de 4% par rapport à l’an dernier. Cette fréquentation accrue a permis à l’industrie d’atteindre des revenus de billetterie de 242 M$, soit le plus haut sommet enregistré dans cette catégorie de revenus dans l’histoire de l’industrie au Québec.

Dans le jargon du milieu touristique, on dira de l’endroit que c’est un produit d’appel. Le Marais de la Rivière aux Cerises de Magog, c’est en fait bien plus qu’une attraction, mais une opportunité de découvrir et vivre une immersion dans un milieu naturel brillamment restauré qui autrefois faisait office de dépotoir régional.