Voilà un hôte Terego qui n'a pas le profil de la majorité de ces pairs, mais nous avons eu quand même droit à la découverte de produits bien de chez nous en matière de mode. Des produits d’origine québécoise, loin, très loin des importations étrangères.

J'aime beaucoup visiter les vignobles hôtes-Terego et ce même si je ne m'y connais pas en vin. En fait, je ne peux même pas prétendre être un néophyte car je suis incapable de déceler les nuances et caractéristiques de cette boisson tant prisée. Ce que j'aime par contre, ce sont les histoires qui sous-tendent la cération de ces vignobles aménagés avec soin et surtout passion.

Visiter le terroir peut aussi être marin. Voilà une destination Terego qui se distingue alors que nous n’irons pas aux champs, mais...

Bethanie… vous connaissez ? C’est un discret village montérégien de 350 habitants où sans la présence de son réputé vignoble, on passerait littéralement tout droit sans même avoir réalisé qu’on l’a traversé. Or voilà, la découverte d’un des plus beaux vignobles du Québec saura vous y mener…

Si dans certains restaurants on vous invite à apporter votre vin, ici c’est un motel qui vous invite à apporter votre chambre à coucher. Le Motel des Mariniers de Kamouraska offre tranquillité et quiétude dans sa cour arrière gazonnée et au niveau.

Un c’est bien, deux c’est mieux… Visiter deux hôtes Terego côte à côte dans la même ville saura peut-être motiver ceux qui seraient hésitants à se commettre pour un seul, de peur de ne pas avoir assez à découvrir.

Il n'y a pas qu'à l'automne des vendanges qu'il soit prétexte à visiter un vignoble, mais l'éveil des vignes au printemps est tout aussi attrayant. Imaginez garer son VR contre les rangs de 22,000 plants de vignes, observer le va et vient des hirondelles de grange ainsi que les tourterelles qui roucoulent leur tristesse ou encore l'Épervier Cooper qui ratisse le ciel tel un F18 de l'aviation canadienne, voilà autant de moments intarissables de petits bonheurs.

Les érablières du Québec viennent à peine d’éteindre leurs bouilloires au terme de leur courte saison annuelle qu’une d’entre-elles persiste et signe. L’érablière Bernard de Granby continue de sustenter les dents de sucres dans un cadre agréable sans égard aux saisons. Oubliez les traditionnels repas à la cabane et la tire sur neige, mais rassurez-vous, l’endroit maintient une offre animée qui n’a rien d’une saison morte.

L'endroit est d'une beauté et d'un aménagement rigoureux qui dépasse tout entendement. Il n'en fut malheureusement pas toujours ainsi alors que la rivière au Saumon cessa en 1968 d’être la source d’approvisionnement en eau de la municipalité voisine de Richmond en raison d'activités industrielles en amont. La défunte usine de pompage et sa rivière devint alors un lieu moribond particulièrement squatté par chasseurs et pêcheurs clandestins.